Frantsezez idatzitako obra honetan, girgillus eta ganglion berben arteko harremana adierazten da:
Le redoublement expressif : un universal linguistique : analyse du proce´de´ en grec ancien et en d’autres langues
por Françoise Skoda
5.18. On n´a généralement pas proposé d´étimologie pour ce terme à redoumblemt (γιγγλ- γιλ-γλ- ). On doit cependant le rapprocher de lat. girgillus, -i, m., qui désigne “un cylindre tourné par une manivelle pour tirer de l´eau d´un puits avec una corde et un seau”, selon la définition d´Isidore 0r.20, 15, 2. J. André signale, en étudiant ce mot latin, une ressemblance morphologique e sémantique avec hébr. gigal, aram. bibl. galgal, mise en évidence par A. Cuny (“Notes greques et latines” Men Soc.1916 pag 199) qui conclut qu le lat. girgillus “n´est qu´une adaptation de gigal ou d´un mot phénicien à peu près identique”. A cette explication par l´emprunt, (J.Andre) notant la parenté entre lat. girgillus et gr. γίγγλυμος, propose une analyse unitarie: “On aurait affaire à une base d`aire très large, ayant servi par redoublement à former des termes désignant une pièce mobile tournant autour d´un pívot (latin, hébreu) ou le pivot lui-même (grec)”. Cependant la comparasion de termes indo-européens cités dans notre étude de γαγγλίου: “ganglion”, conduit à supposer une racine *gel- / *gl- évoquant rondeur, enflure dans les mots retenus, signification qui n´exclut pas, loin de lá, les notions de lignes courbes et de mouvement circulaire. Le nom du pivot, qui présente le degré réduit de cette racine, illustre parfaitement cette affinetté entre deux notions connexes –mouvement circulaire-rondeur—puisqu´il traduit un mouvement qui décrit un cercle ou un arc de cercle mais èvoque en même temps une píece aux lignes courbres. Il se peut quíl y ait eu une simple recontre entre une base sémitique et une racine indo-européenne.
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Frantsezez idatzitako obra honetan, girgillus eta ganglion berben arteko harremana adierazten da:
Le redoublement expressif : un universal linguistique : analyse du proce´de´ en grec ancien et en d’autres langues
por Françoise Skoda
5.18. On n´a généralement pas proposé d´étimologie pour ce terme à redoumblemt (γιγγλ- γιλ-γλ- ). On doit cependant le rapprocher de lat. girgillus, -i, m., qui désigne “un cylindre tourné par une manivelle pour tirer de l´eau d´un puits avec una corde et un seau”, selon la définition d´Isidore 0r.20, 15, 2. J. André signale, en étudiant ce mot latin, une ressemblance morphologique e sémantique avec hébr. gigal, aram. bibl. galgal, mise en évidence par A. Cuny (“Notes greques et latines” Men Soc.1916 pag 199) qui conclut qu le lat. girgillus “n´est qu´une adaptation de gigal ou d´un mot phénicien à peu près identique”. A cette explication par l´emprunt, (J.Andre) notant la parenté entre lat. girgillus et gr. γίγγλυμος, propose une analyse unitarie: “On aurait affaire à une base d`aire très large, ayant servi par redoublement à former des termes désignant une pièce mobile tournant autour d´un pívot (latin, hébreu) ou le pivot lui-même (grec)”. Cependant la comparasion de termes indo-européens cités dans notre étude de γαγγλίου: “ganglion”, conduit à supposer une racine *gel- / *gl- évoquant rondeur, enflure dans les mots retenus, signification qui n´exclut pas, loin de lá, les notions de lignes courbes et de mouvement circulaire. Le nom du pivot, qui présente le degré réduit de cette racine, illustre parfaitement cette affinetté entre deux notions connexes –mouvement circulaire-rondeur—puisqu´il traduit un mouvement qui décrit un cercle ou un arc de cercle mais èvoque en même temps une píece aux lignes courbres. Il se peut quíl y ait eu une simple recontre entre une base sémitique et une racine indo-européenne.